Quand je pense à toi,
soudain je revois,
je ne sais pourquoi le jardin fleuri.
D’où tu m’as souri,
quand je suis partie,
souviens-toi.
Depuis ce temps je voyage,
et sur toutes les routes.
À jamais ton doux visage,
qu’un rêve effleure, demeure.
Car le temps qui fuit,
au vent de l’oubli,
passera sans bruit sans rien effacer.
Maman tu le sais,
rien ne peut changer le passé.
Je me souviendrai,
de tes yeux jusqu’à mon dernier jour.
Maman, mon plus tendre amour.